Pas possible aujourd'hui. Je ne suis pas en capacité.
Alors je vous écris le lendemain, pour dire qu'hier, ben, non.
un nouveau blog!
Simon et Quentin, Quentin et Simon
l'un en Irlande (Quentin), l'autre en Angleterre (Simon)
J'ai plus l'habitude de les voir à la maison, l'un à la batterie (Simon), l'autre aux guitares (Quentin)...
Bonne lecture!
Bonsoir
il est tard, et cependant je ne peux m'endormir sans partager à chaud ce qui veint de se produire:
je regarde beaucoup de séries américaines, en version originale sous-titrée.
J'ai découvert, grâce à Simon (notre fils de 20 ans), une série qui se passe au Texas, dans le milieu du football américain de lycée...
Tout pour me faire reculer.
Texas, pas spécialement ma tasse de thé, frontaliers rudes et racistes, culture nationaliste et grands chapeaux...
Football américain... Bon, je n'y connais rien. Enfin,je dois aujourd'hui dire "je n'y connaissais rien"...
A force, j'ai bien dû piger deux ou trois trucs sur les principes de jeu, les tactiques, les différents types de joueurs.
Bon...
Mais alors, pourquoi "au revoir et merci"????
Parce que j'ai découvert et aimé voir 5 saisons entières de relations humaines. Chaque personnage est humain, vulnérable, faillible, comme moi.
Et que j'ai vu des valeurs dans lesquelles je me reconnais, d'humanité, de doute constructif, et de dialogue. Je souhaite tout au long de ma vie continuer comme ces personnages, à accepter que la vie change sans arrêt, et l'espoir, et la confiance.
Amitiés, amours, unions et désunions, deuils, joies, tout y a été pour moi.
Beaucoup de trajectoires de vie, avec un regard vers le "mieux" qui est possible, quelle que soit la trajectoire antérieure de chaque personnage, gâté ou non par le destin.
Et par dessus tout, j'ai été nourri du couple principal, joué par Kyle CHANDLER "Coach Taylor, Eric", et Connie BRITTON, l'épouse, "TamiTaylor", conseillère d'orientation je crois bien...
Si vous avez regardé "Demain à la une", une série où un chat tigré jaune apporte à Garry Holson le journal du lendemain, vous connaissez le "Coach Taylor"...
Il a un rôle qui a forcé mon admiration, dans sa posture verticale, tout en restant profondément vulnérable, humain.
Et sa compagne à l'écran, Connie BRITTON, est apparue dans plusieurs épisodes de "A la Maison Blanche", autre série que j'ai particulièrement dévoré; je vais sans doute y retourner, je n'avais pas repéré Connie B, vous savez, quand on ne connaît pas encore bien les acteurs...
La Austin Film Society a annoncé la liste despersonnes qu'elle honorera lors de sa cérémonie annuelle le 10 mars prochain et Friday Night Lightsen fait partie.
Kyle Chandler et Connie Britton viendront chercher la Star of Texas Award honorant "son succès critique, sa contribution significative à l'économie locale et son authentique portrait du Texas".
Oui, détail de taille: cela a été tourné non pas à Hollywood, mais réellement au Texas...
Je suis souvent un peu triste de clore une série, car les histoires m'ont tenu compagnie pendant de nombreuses semaines, généralement.
Ici, une fois de plus, je suis surpris. La fin me plaît particulièrement, je suis ravi, je suis ravi. Je n'en dirai pas plus, pour ne point déflorer. "Déflorer"! Enfin! Le mot convient pour l'anglais "spoil", que je n'arrivais pas à traduire en un seul mot français. Mais oui, bon sang mais c'est bien sûr!!!
Ah, je savoure cette redécouverte d'un terme, comme ça, au détour d'un paragraphe, au bout des doigts. Nom d'un clavier, je suis content!
Je suis aussi content de voir que j'ai regardé le dernier épisode en entier, sans sous-titres, car non disponibles. J'ai tout compris, si, si... Même les paroles d'acteurs dont les personnages parlent moins clairement. L'oreille s'habitue, le cerveau linguistique intègre progressivement les mots, leur sens, et augmente le stock lexical, et traite bien plus en unités de sens, en s'appuyant sur le contexte. Hey, t'as vu ça, c'est pas que de la télé, Baby!
Bon, maintenant que j'ai fini de faire le kéké, je vous salue, je remercie Peter BERG,
qui avait fait un film en 2004, avec le même titre.
C'est ce qui a donné la série par la suite.
Une rapide recherche me permet d'ajouter que l'origine de tout cet ensemble de productions audiovisuelles est un roman: "Friday Night Lights: A Town, a Team, and a Dream", écrit par "Buzz BISSINGER", qui utilisa pour ce roman le nom de "H.B. BISSINGER".
Cet auteur a reçu le prix Pullitzer, en tant que journaliste. Il raconta dans son livre l'histoire de la ville d'Odessa, au Texas. Ville en situation économique "dépressive", Odessa a nourri une équipe de footbal américain, au niveau de son lycée, "The Permian High Panthers". Ces "Panthers" ont été plusieurs fois champions d'état, faisant la fierté de leur ville.
Friday Night Lights reprend cette histoire, la transposant dans une petite ville du Texas, "Dillon".
Voilà, je pars dormir. J'ai eu plaisir à rechercher des infos sur cette série qui m'a accompagné au cours des derniers mois qui viennent de passer.
Allez y voir, jeter un oeil... Touchdown, Peter Berg!
D'humeur massacrante au boulot depuis deux jours...
je commence à savoir pourquoi, mais besoin de valider par l'expérience.
Il vous arrive d'être de très mauvais poil et de ne pas savoir clairement pourquoi???
Je souffre dans ces moments-là, car j'aime la sérénité intérieure.
Et en même temps, je prends plaisir à cette souffrance...
quoi??? Il est mazo, le Yéti!
Non. D'abord, on écrit "maso", car de chaque c^^oté du "S", il y a une voyelle, le "A" à gauche, le "O" à droite... Alors quand on lit à haute voix, le "S" se prononce "Z"... Pas "masso", ni "mazo". On écrit simplement "maso. Voilà.
Tiens, une règle d'utilisation du français écrit, au mileu d'un article sur le mauvais poil???
Ben oui, ça transpire: je suis orthophoniste... Orthophonistre, c'est plus rigolo.
Donc, "maso", le Yéti???
Non. Je prends plaisir à avoir conscience de ma mauvaise humeur. C'est cela qui a changé ma vie: devenir conscient, petit à petit, chaque jour si je peux.
Et actuellement, je suis de mauvais poil, car il se produit quelque chose au boulot. Et ce quelque chose, ou cet ensemble de trucs (relationnels, ça j'en suis certain) ne sont pas encore "appris", accueillis", "acceptés", "digérés" par le Yéti...
Du "pas encore accompli", qui se manifeste au fil du quotidien. Ce mal être est une source de connaissance de soi, et c'est là que j'éprouve du plaisir.
Curieuses conjugaison de l'inconfort, de l'humeur massacrante, et du plaisir d'avoir un indice pour mieux me connaître, pour "apprendre à vivre"...
Je tiens l'expression de Marshall B.Rosenberg, créateur du concept de "Communication Non Violente".
Ce fut pour moi un drôle de moment quand je l'entendis la première fois dire "je peux prendre plaisir à la souffrance et à la confusion"... En anglais, j'ai traduit.
C'était il y a plusieurs année...
Maintenant, je suis furibard, contrarié, sourcils froncés, peu amène, peu fréquentable.... Et au fond de moi aussi, joyeux.
Car ce bourbier est du compost.
J'ai déjà fait de nombreuses fois cette expérience, et je sais que dans quelques temps (des mois? des années?...), la situation dans laquelle je me trouve sera vécue d'une façon beaucoup plus tranquille.
Voire sereine: ce qui déclenche actuellement ma morosité intérieure, sera plus tard inopérante: ce qui est aujourd'hui inaccompli en moi le sera alors. Réjouissant, non?
Bon, en attendant, c'est le grognon qui est au guichet.
Alors, en attendant de simplement savourer ma découverte et avant d'avoir su guérir de blessures du passé révélées aujourd'hui... Je vis mon quotidien.
J'espère que l'apprentissage ne sera pas trop long...
A bientôt...
coucou.
Ben oui,un article par jour, ça veut dire un par jour.
Comme j'ai pris le temps de faire du "garage band" au lieu de publier hier, je publie deux papiers (écrans) ce soir...
J'ai choisi de me défier: un article par jour pendant les 5 mois d'absence du petit grand (notre Simon, 20 ans)...
Dommange que je n'aie pas la vidéo qu'il a publiée sur FaceBouk, il a bien chanté vendredi soir.
Notre chat Pilou veillait sur lui, j'ai envie d'y croire...
Merci à L., que j'ai croisée cette semaine -j'aime les coincidences-, tu m'as dit "il n'y a pas de petits deuils"...
Merci pour ces mots, cela donne à notre peine une légitimité que les acides, grincheux ou ignorant(e)s ont du mal à concevoir.
Je suis un peu agressif, comme la sciatique qui m'éveilla dans la nuit de vendredi à samedi.
Symbolisme? Oui, sans doute, j'en suis profondément convaincu, par expérience.
Les douleurs nous parlent de nous-même, de notre relation au monde, intérieur et extérieur... Je crois sincèrement à tout cela, fort de plusieurs années d'expériences et de validation de cela sur moi-même.
J'ai été renseigné par un travail avec Annick de Souzenelle, pendant deux années de suite. J'ai été attiré par les propositions de Lise Bourbeau et de Claudia Rainville, durant quelques temps, puis je m'en suis éloigné: trop catégoriques, plutôt "new age", et sans grande nuance...
Annick de Souzenelle parle de "Dieu", tout en respectant les points de vues des autres.
C'est réellement la première conférencière que j'ai vu accueillir l'agressivité, le doute et le désaccord avec respect, en assumant tranquillement sa vision des choses, qu'elle disait très personnelle. "Ne me croyez pas, s'il vous plaît, allez vérifier par vous-même dans votre expérience vécue". Et nous pouvons ne pas être d'accord...
Alors j'écoute mes douleurs, mes peines de corps, quand j'en ai. Le corps serait une carte au trésor, qui nous guiderait vers les épousailles entre les différentes parties de nous, nos féminins, nos masculins, en chacune et chacun de nous. Le fait d'être biologiquement différents ne change rien à nos similitudes.
l'arbre des Sephirots serait bien utile comme carte au trésor...
séphirots: 
Un indice: mon féminin, c'est peut-être mon inconscient, ce qui n'est pas encore nommé, connu de moi, et qui n'est pas encore accompli.
Je retiens pour l'essentiel de ces deux années à cotoyer Annick de Souzenelle, que je suis responsable de mon inconscient. En clair: j'ai à me rencontrer moi-même, me connaître pas l'intermédiaire de mes expériences de vie.
Faire "oeuvre mâle". En hébreu, le mot "mâle" contient les mêmes lettres que le mot "se souvenir". M'appropriant cette "cabale linguistique", j'ai fait mienne cette direction: je fais oeuvre mâle quand je me souviens, quand mon inconscient devient conscient.
C'est pour moi l'oeuvre d'une vie entière, voire de plusieurs...
Eh oui, je me suis intéressé aussi à la réincarnation. Et j'y crois actuellement, aprèq avoir lâché l'idée pendant quelques années. Sinon, ce serait vraiment dégueulasse qu'on n'ait qu'une seule vie...
En même temps, je considère que je n'ai qu'une seule vie, pour l'instant. C'est après que je saurai... J'espère que ce sera comme je crois, il y a tant à faire, pour aller à la rencontre de soi et des autres... Ne serait-ce que ça...
Bon, je vais faire une pause, et savourer le "ne rien faire", avant de reprendfre les trépidations de la semaine de l'orthophoniste salarié en Institut Médico Educatif que je suis.
ptkbdgfschvzjmngnlr.
Bonne semaine!
Ben oui, mince alors...
J'ai publié un article sur "Camel", mon groupe favori, mais je l'avais ébauché en février 2009...
A l'aune d'internet c'est un temps infini, non...???...^^
Donc je vous invite à regarder cet article, en remontant le temps avec les petits numéros en bas de cette page. En cliquant sur le mot "fin" je pense....??? En tout cas voici un mot qui remonte du passé récent, et dont j'ai conservé l'intégralité...
Mince alors, radote-je???
Ou bien, peut-être existe-t-il une forme de permanence de quelques éléments dans mon histoire récente???
Oui, je ronfle toujours très fort quand je dors, par exemple.
Avantage, pas de rongeurs dans la chambre du Yéti... Hi hi hi...
A bientôt...
'Suis crevé...
pas envie ce soir d'écrire
je me force, je poste ces quelques phrases, on se voit demain
On verra.
Allez, une 'tite vidéo d'été pour se remonter la forme.
Des bisous
Yéti
Au revoir Blaireau.
Ce qui pour certaines personnes représente un "au revoir", peut être pour d'autres un "adieu".
Qu'imorte, l'important, c'est je crois de vivre "avec" la séparation.
J'aime ce livre, il a servi encore aujourd'hui.
Je vous le recommande sincèrement.
A bientôt
Au revoir Blaireau.
...Au revoir Pilou...
coucou
deux titres, je ne sais si je les commenterai, je tenais à les garder en mémoire.
Comme ce soir je suis fatigué +++, je donne les deux phrases, et on en recausera peut-être...???...
1) 100 autobus "Casher" à Jérusalem"
2) d'une poignée de personnes à 5300 en quelques semaines, à Athènes: les "fées" bénévoles embellissent leur ville.
Leur nombre ne cesse de croître. Plein de personnes âgées, et toutes et tous les autres...En utilisant Facebook pour s'inspirer mutuellement.
A demain.
Colène, c'est ma maman.
Voilà.
Le reste, c'est intérieur. Merci à mon interlocuteur de ce soir, un joli bout de chemin fait ensemble. Quelle chance nous avons de pourvoir échanger!!!
C'est tout pour aujourd'hui.
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